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Une souffrance provoquée… Le cas de madame ADOU (Diabète et grossesse difficile).

CAS REEL…

L’Afrique est très souvent qualifiée de “pauvre” à cause des conditions précaires dans lesquelles les populations vivent. Les projets se reposent sur l’éspoir de relever les défis colossaux auxquels elle doit faire face. La faim et la santé sont particulièrement pointées.

Au niveau mondial, la santé est de plus en plus high-tech. L’Afrique devant peu à peu s’adapter à ces nouvelles stratégies de technologies de l’information et de la communication, n’a pas encore achevé sa transition épidémiologique. La lutte contre les maladies endémiques et chroniques est lente. Les causes évoquées sont très variées…

Madame ADOU se retrouve aux urgences à la veille de son accouchement à cause des douleurs. C’est son troisième accouchement. Elle a souffert pendant les deux précédentes grossesses de Diabète (diabète gestationel), au point de prendre des doses élevées d’insuline. D’après son médecin traitant, elle a été soumise aux examens médicaux 7 jours et 3 jours avant son arrivée aux urgences. Les résultats ne prévoyaient rien de particulier. Juste avant l’accouchement, le gynécologue pose trois fois la question à la sage-femme à savoir si tout va bien chez madame ADOU. Elle affirme trois fois de suite que le coeur de l’énfant bat et que tout est en ordre. Le Gynécoloque procède à une césarienne sans consulter la dame.

Une fois le ventre ouvert, il se rend très vite compte que l’enfant, vu l’état de macération, est mort dans le ventre depuis 2 à 3 jours selon ses estimations. A QUI LA FAUTE?

Le diabète peut causer un décès in utero mais généralement, après diagnostic de diabète gestationel, la maman est suivie de près. Madame ADOU n’a malhereusement pas été suivie. Après 2 semaines et plus d’hospitalisation, elle a du mal à cicatriser et déprime beaucoup.

Elle n’a pas encore fait le deuil de son enfant qu’elle doit supporter la douleur d’une plaie de césarienne douloureuse et qui peine à se refermer.

C’est une chose que de perdre un enfant à l’accouchement, mais s’en est une autre d’écoper en plus, une si grande souffrance qui aurait pu  être éviter. Elle doit désormais relever double défi: d’une part lutter contre le stress et la dépression et, d’autre part, lutter contre le diabète et ses complications.

Un simple geste aurait pu la sauver. Ce n’est pourtant pas la faute de la “pauvreté” ou encore moins du manque de structure santaire. La lutte contre les maladies endémiques, chroniques et celles précipitant le viellissement, commence par l’information et la sensibilisation. En centre hostpitalier, les responsabilités du corps de santé se doivent d’être assumées. Le patient aussi a le devoir de veiller à ce que les choses soient faites de manière correcte.

La sensibilisation et la prévention sauvent des vies

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6 thoughts on “Une souffrance provoquée… Le cas de madame ADOU (Diabète et grossesse difficile).”

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